Château de Respide
Château de Respide Callipyge
Graves
Château de Respide Callipyge
Sauvignon, Sémillon
Vin blanc
5 ans
Viandes blanches, poissons cuisinés et
grillés, Saint-Jacques mais aussi
cuisine exotique et fromages (Comté,
Appenzeller, gruyère) et peut également
être très apprécié seul en apéritif
9,95 €
2018
Robe jaune d’or prometteuse. Les parfums riches s’appuient sur une bouche légèrement moka. Beaucoup de fruits jaunes en début de bouche puis des agrumes pour finir sur une note de fruits confits. Un coté petit bourguignon.
Température de service : 15°. Un vin qu’il ne faut pas servir trop froid pour laisser ses arômes se développer. Il gagne à être ouvert une ou deux heures avant dégustation. Il se gardera encore 4-5 ans.
75 cl
« Frais et minéral, il reste parfumé et élégant ! »




Graves
L’AOC Graves s’étend sur 60 km et longe la rive gauche de la Garonne jusqu’à Langon. Le vignoble des Graves est limité au sud-ouest par la forêt des Landes. Cette situation géographique idéale permet à la vigne d’être à la fois protégée des intempéries, grâce à la forêt des Landes, et aussi de la sécheresse, grâce à la Garonne. La vigne des Graves est cultivée sur une longue bande graveleuse composée de cailloux, d’argile et de calcaire à astéries. Le terroir de cette AOC, typique de la région bordelaise, est si renommé qu’il est le seul à avoir donné son nom à une appellation. Le vignoble s’étend sur 3.500 hectares.
Les principaux cépages sont les suivants : Cabernet franc, Cabernet-sauvignon, Merlot, Muscadelle, Sauvignon et Sémillon.
Sa production est de 163 000 hectolitres par année.
Du XVIème au XVIIIème siècle, se constituèrent de grands domaines attachés à la production de vins de qualité. Ces vins qui figurent alors sous le nom commun de « vins de Graves », étaient considérés comme le vin de Bordeaux par excellence. Les exportations vers l’Angleterre et le nord de l’Europe vont bon train. La côte des Graves domine alors le marché jusqu’à la fin du XVIIIème siècle.Surmontant les crises viticoles successives des XIXème et XXème siècles liées aux maladies (oïdium, mildiou et phylloxera), aux gelées hivernales de 1956, aux poussées de l’urbanisation des agglomérations bordelaise et langonnaise ainsi qu’à la concurrence des vins du Nouveau Monde, le renouveau économique des vins de Bordeaux est amorcé dans les années 1970.